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charlotte (anti-hero)

Adrian Dawkins

Adrian Dawkins
   

PSEUDO : bumblebeegirl. ; Marion (her)
MESSAGES : 23
SUR LH DEPUIS LE : 01/05/2023
FC, CRÉDITS : s. stan. ; av: murdock ; gif profil : uc ; gif signa : uc.
DC : thomas (b. barnes), alois (f. pugh)
WARNINGS : alcoolisme, deuil, possible mention de : cancer.

charlotte (anti-hero) 23f1d8e67e2ba365f9fc7d5e80774e44e04d5a01

AGE : trente-cinq ans. (20/04)
STATUS : back on the single road.
ADDRESS : un appartement à wandsworth où il squatte le clic clac.
OCCUPATION : au chômage, à écumer les rues pour se trouver un job.
Adrian est chafouin. Parce qu’aujourd’hui il a encore reçu un refus suite à sa candidature. Sans même qu’on lui laisse la chance de s’expliquer, de se vendre. Alors il est aigri. Si aigri qu’il sort du métro et se rend directement à Tesco pour pouvoir acheter de quoi faire un plat bien gras ce soir. Il sait que Lou va râler mais il s’en fiche. Il fait ses emplettes et enfile ses lunette de soleil en sortant, les yeux rivés sur Tinder. Il swipe, quand il a un match il envoie un message. Et puis qui vivra verra comme dirait l’autre. Lorsqu’il rentre dans l’appartement, il voit les post It de sa sœur sur le plan de travail et il grince des dents. « Soirée jeux ce soir » de sa plus belle écriture, les cœurs significatifs en haut des I. Il souffle et range un peu le boxon qu’il a fait avant de partir au sport, se jette sous la douche et lorsqu’il en sort, il appelle les Munroes, de l’autre côté de l’océan. Pour voir Adam mais aussi Elior et Janet ceux qui ne l’ont pas abandonné quand il a dit qu’il partait. Elior comprenait son envie d’ailleurs. Il promet à Adam de revenir bientôt et raccroche, le cœur un peu plus lourd. Il déteste cette situation dans laquelle il est. Avoir du quitter New York pour ne pas sombrer, avoir du fuir comme un lâche parce qu’il ne supportait pas de rester dans cet appartement qui sentait son odeur à chaque endroit. Il détestait croiser son fantôme à chaque coin de rue. Il l’a détestait autant qu’elle avait laisser une empreinte marqué au fer rouge sur son coeur. Dans son esprit. Il suivait de loin ce qu’elle faisait et les sourires qu’elle adressait aux photographies lors de diverses conférences de presse montraient qu’elle était passé à autre chose. Elle. A contrario de lui qui avait l’impression qu’on lui arrachait le coeur à chaque fois qu’il daignait penser à elle. Lorsque tout le monde arriva, Adrian était presque prêt, il enfila un sweat à la demande de sa soeur qui en avait « assez » qu’il s’exhibe. Tout était relativement prêt quand on toqua à la porte, sauf Lou, qui râla sur Adrian pour qu’il aille ouvrir la porte, ce qu’il fit et il se rendit compte qu’il ne connaissait pas la personne qui était sur le palier, alors il lui offrit un sourire Hi, I’m Adrian. Do you remember me? Oh, that’s right—we’ve only met in my dreams. Et il lui tendit la main parce qu'il savait que les anglais se serraient la main généralement alors il ne voulait pas franchement passer pour le bizarre de service. Une fois de plus, peut-être la fois de trop, finalement.
Charlotte Pheng

Charlotte Pheng
   

PSEUDO : k-ro
MESSAGES : 40
SUR LH DEPUIS LE : 02/04/2023
FC, CRÉDITS : elodie yung + tearsflight (av.), cainwrites (gifs), måneskin (lyrics)
WARNINGS : TCA (plus précisément la boulimie), je ne fais cependant pas dans le détail gratuit et j'indique toujours quand j'en parle dans mes rps

charlotte (anti-hero) 9c515dc4ebd4a0d243c2202d6c6e4e7518da124b

AGE : 37 ans
STATUS : célibataire
ADDRESS : wandsworth
OCCUPATION : co-fondatrice d'une école de danse inclusive dans laquelle elle enseigne le classique et le modern jazz
Les soirées jeux n’avaient jamais été le fort de Charlotte. Elle appréciait à sa juste valeur une petite partie de Code Name de temps à autres, n’était pas contre non plus l’idée de passer une heure dans un bar à thème avec des personnes triées sur le volet. Une soirée entière à enchaîner les jeux chez sa voisine de pallier, cependant, n’était pas exactement ce que Charlotte appelait une réussite. Qu’on ne se méprenne pas : la brune aimait beaucoup Lou, la petite américaine qui partageait sa passion du spectacle, avait même réussi à en faire une carrière dans le West End, d’où son déménagement. Malgré leur différence d’âge, elles s’étaient tout de suite bien entendues, et Charlotte avait décidé malgré elle d’adopter ce rôle un peu protecteur envers la jeune femme avec laquelle il n’était pas rare qu’elles partagent une bouteille de vin devant une émission artistique quelconque. Non, sa voisine n’avait rien d’un problème, cette soirée en elle-même n’avait rien d’un problème en soi. Les jeux de société n’étaient simplement pas tout à fait sa tasse de thé, et l’idée d’une paire de personnes inconnues se joignant à la fête avait très honnêtement donné la flemme à la danseuse.

Elle s’était donc préparée sans trop d’entrain. A vrai dire, tout se passerait bien mieux une fois qu’elle serait sur place, dans l’ambiance, et qu’elle pourrait se fondre dans la masse, Charlotte le savait. Elle commençait à se connaître : désespérée à l’idée d’une vie sociale plus active mais incapable d’aborder ces soirées avec impatience. Bref, tout finissait par s’arranger une fois qu’elle se forçait un peu à sourire et suivait le mouvement. A l’heure indiquée, donc, elle s’empara de sa meilleure bouteille de blanc et traversa le pallier… Et très franchement, Lou avait bien changé. Charlotte commença par étudier malgré elle l’homme qui lui avait ouvert. Très rapidement, la question d’où Lou avait bien pu dénicher un pote pareil se glissa dans un coin de son esprit, soudain un peu plus emballée quant à la soirée à venir. Cette pensée ne s’immisça que quelques secondes à peine, jusqu’à ce que l’homme ouvre la bouche, avec son accent américain et sa disquette d’abruti. Wow, ils ont vraiment l’art de tout gâcher en moins de dix secondes, pensa-t-elle en haussant un sourcil avec dédain, et ignorant la main qu’il lui tendait, elle siffla : « Wow, okay, someone’s feeling brave today, that’s cute. » Elle l’observa, suffisante, de haut en bas. « Slow down, mate, this might work in America but over here people have manners. » Sérieusement. Quel âge pouvait-il bien avoir, en plus ? Il n’avait pas l’air beaucoup plus jeune qu’elle. N’avait-il pas reçu le mémo que ce genre de pickup lines ne fonctionnaient plus une fois sortis du lycée ? « Let’s try that again, shall we ? », proposa-t-elle cependant. Elle devrait passer la soirée en sa compagnie, après tout, et à en juger par les quelques indices qu’elle avait repérés, il devait être le frère de Lou. Autant ne pas se fâcher avec lui. Elle cala sa bouteille de vin sous son bras et daigna – enfin – lui serrer la main : « Hi, I’m Charlotte, next door neighbour. And you are… ? »
Adrian Dawkins

Adrian Dawkins
   

PSEUDO : bumblebeegirl. ; Marion (her)
MESSAGES : 23
SUR LH DEPUIS LE : 01/05/2023
FC, CRÉDITS : s. stan. ; av: murdock ; gif profil : uc ; gif signa : uc.
DC : thomas (b. barnes), alois (f. pugh)
WARNINGS : alcoolisme, deuil, possible mention de : cancer.

charlotte (anti-hero) 23f1d8e67e2ba365f9fc7d5e80774e44e04d5a01

AGE : trente-cinq ans. (20/04)
STATUS : back on the single road.
ADDRESS : un appartement à wandsworth où il squatte le clic clac.
OCCUPATION : au chômage, à écumer les rues pour se trouver un job.
Il avait une colère en lui Adrian qu'il n'arrivait pas vraiment à définir, il était en colère d'avoir dû partir de New York, en colère d'avoir cru que ça marcherait avec Elizabeth même si tout le monde l'avait prévenu que ça ne marcherait pas. Ça n'avait pas marché la première fois, pourquoi est-ce que ça aurait marché la seconde. Il aurait pu attendre, il aurait pu mettre de côté ses envies, ne pas la presser, attendre encore et encore, mais il fallait qu'il se rende à l'évidence que son horloge biologique était en train de tourner et que ce n'était pas en étant père a plus de quarante ans qu'il allait pouvoir élever un enfant de la même façon que s'il en avait trente-cinq. On n'a plus la même fibre à quarante, moins bien d'appréhension de la fatigue, moins de patience aussi. Et s'il avait un enfant, il voulait être là pleinement pour lui et ne pas regretter un matin sur deux quand les nuits auront été courtes, voire blanches. Alors il était arrivé ici, dans l'appartement de sa soeur, et il adorait ses colocataires (qui n'était pas vraiment les siens), mais il détestait sociabiliser trop souvent, et les soirées jeux de société revenaient trop vite à son goût. Surtout quand on reçoit un refus pour un boulot et que tout ce dont on a envie, c'est de faire du sport, courir, hurler ou même se lamenter sur son triste sort. Mais il n'avait pas envie de se prendre la tête avec Lou et il ferait un effort pour ne pas passer pour le grumpy de la bande, de toutes façons, il ne pouvait pas aller dormir puisque son canapé serait réquisitionné et il n'avait pas envie d'aller dans un bar, parce qu'il n'avait personne à voir et puis surtout, il ne voulait pas attirer la pitié. Il faisait même un effort pour aller ouvrir la porte histoire d'être serviable et il ne put s'empêcher de laisser le naturel revenir au galop et il se prit une veste -ce qui n'était pas étonnant, en soi- mais il ne s'attendait pas à ce qu'on le prenne avec tant de condescendance, ou du moins, ce qu'il prenait pour de la condescendance « We do have manners in America for your information. » rétorqua t-il, blessé dans son ego de mâle fragile. Puis à la proposition de la brune, Adrian sourit et jeta une oeillade à la bouteille de vin, avant de se rendre compte qu'il allait encore certainement passer pour le rabat-joie de service. Quand les personnes ne savaient pas ce qu'il avait traversé, il avait l'impression d'être dans un autre monde. Lorsqu'elle prit enfin sa main, Adrian se sentit soulagé, parce qu'il en avait assez de passer pour le type bizarre, ce qu'il faisait trop souvent ici. « Adrian, Lou's brother. Step-brother to be honest but she's like my sister so. » Trop de paroles. Adrian se permit délicatement de prendre la bouteille de vin de sous le bras de Charlotte rajoutant un petit « Let me handle this. » à peine murmurer. Et il lui laissa le passage lbre pour qu'elle puisse entrer, mais avant qu'elle ne le fasse, il rajouta « You know, I hesitated with I’m not usually religious, but when I saw you, I knew you were the answer to my prayers, which one is better ? » Et lorsqu'elle entra, il referma la porte derrière lui avec un sourire goguenard sur le visage, finalement, peut-être que la soirée ne serait pas si nulle finalement.
Charlotte Pheng

Charlotte Pheng
   

PSEUDO : k-ro
MESSAGES : 40
SUR LH DEPUIS LE : 02/04/2023
FC, CRÉDITS : elodie yung + tearsflight (av.), cainwrites (gifs), måneskin (lyrics)
WARNINGS : TCA (plus précisément la boulimie), je ne fais cependant pas dans le détail gratuit et j'indique toujours quand j'en parle dans mes rps

charlotte (anti-hero) 9c515dc4ebd4a0d243c2202d6c6e4e7518da124b

AGE : 37 ans
STATUS : célibataire
ADDRESS : wandsworth
OCCUPATION : co-fondatrice d'une école de danse inclusive dans laquelle elle enseigne le classique et le modern jazz
We do have manners in America for your information. Charlotte haussa un sourcil, dubitative, avec toute l’insolence dont elle était capable de faire preuve when she wasn’t convinced by yet another white man’s opinion. Elle l’avait blessé dans son petit ego, le pauvre enfant, elle le voyait à ses sourcils froncés et son regard à moitié outré quand il aurait probablement voulu montrer qu’il était cool et chill. Et si intérieurement la brune jubilait, elle n’avait suffisamment de classe pour ne pas le laisser paraître. D’autant qu’il n’avait pas l’air bien méchant, juste dénué de toute notion de bon sens, voilà tout. Alors quitte à passer la soirée en la compagnie d’un américain dont elle avait – sans équivoque – tapé dans l’œil, Charlotte décida de redescendre un tout petit peu et de lui offrir une chance de rédemption. Chance qu’il s’empressa de saisir avec, il fallait le dire, un sourire charmant. Et soudain, tout sembla s’expliquer. Elle avait déjà des doutes, évidemment, mais Lou avait déjà mentionné son frère à plusieurs reprises et si les termes étaient généralement élogieux, il n’était pas rare qu’elle entende parler du côté, disons, bout-en-train de l’énergumène. Sans quitter son air insolent, elle acquiesça : « Yeah, I heard about you. She seems to – (Elle s’interrompit une seconde lorsqu’il la débarrassa de la bouteille de vin sous son bras) thank you -, she seems to genuinely believe you’re a nice guy so, you know, let’s give you the benefit of the doubt. »

Mais Adrian ne s’arrêta pas là. « Fuck’s sake. », soupira Charlotte, dissimulant avec difficulté son sourire derrière la main qui venait de se libérer et dans laquelle elle avait enfoui son visage. L’homme était irrécupérable, certes, et elle pouvait le deviner en une interaction d’environ quarante secondes. Mais paradoxalement, Adrian semblait être son unique chance de se sortir de cette soirée jeux pour laquelle elle n’était pas si emballée sans faire la rabat-joie et rentrer chez elle à vingt-deux heures.  Elle ne lui donna pas la satisfaction de savoir qu’il était le chosen one, cependant. Il allait galérer, et il allait avoir intérêt à se rattraper, parce qu’elle allait anéantir chacune des parcelles de son petit égo fragile dès que possible. Elle lui ferait la conversation en ses termes et quand elle l’aurait décidé, certainement pas l’inverse. Elle commença donc par l’ignorer royalement pour aller saluer tous les participants à la petite fête, un par un. Elle se servit un apéritif, puis un deuxième, snobant royalement l’américain comme s’il n’était personne. Ce n’est qu’au bout d’une bonne demi-heure, sensiblement alcoolisée, qu’elle daigna lui adresser à nouveau la parole : « These pickup lines never worked, right ? » Because they sure didn’t with her. They just got her a teeny, tiny bit interested. And that was nothing. Right ?
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